Revue hebdomadaire sur Internet Fusionne, dirige, écrit et correspond: Menassa 2003 NOUS
NE SAVONS PAS PARLER NOUS LE FAISONS EN PLUSIEURS LANGUES: INDIO
GRIS, EST LE PRODUIT D´UNE FUSION INDIO GRIS Nº 179 AÑO IV ÉDITORIAL ANALYSE
DU JOUR D’AVANT Nous nous réjouissons du résultat: 0-3 pour l’Espagne (parce que nous avons des intérêts économiques dans le secteur du tourisme, de la téléphonie mobile, des compagnies aériennes et de la RTVE), et bien que nous ne comprenions rien au football, nous aimons beaucoup ce qu’écrit Julián Ruiz dans Marca (20 novembre). UN
BON BANC : CASILLAS SALGADO
HELGUERA CÉSAR
PUYOL XABI
ALONSO ABELDA ETXEBE
VALERON VICENTE RAÚL NORVÈGE
- Espagne Nous
avançons la sortie de l’Indien BONNE
CHANCE ! Que
le taureau t’encorne Que
nous gagnions ou pas le match contre la Norvège (et ce n’est pas si difficile
de gagner la Norvège) nous voulons laisser témoignage noir sur blanc dans
cette matinée inoubliable pour le football espagnol (13 :05 hs), que Iñaki
Sáez est bien pire que Clemente (comprenez, pour la sélection espagnole de
football). Au moins, Clemente, quand il criait se reconnaissait coupable de
quelque chose. Nous
avançons le 11 qu’a dessiné le psychanalyste sportif du Grupo Cero, Miguel
Oscar Menassa : Casillas ;
Michel Salgado, César, Helguera, Juan Fran, Albeda, Baraja ; JULIAN
RUIZ Je
n’attends pas qu’Iñaki Sáez bombe le torse et remporte toutes les médailles.
Il n’a pas cette superbe. Mais
seule sa médiocrité, ses erreurs et son manque de confiance en lui nous ont
mis dans cette embrouille. Shoote. Quand
la Norvège s’est transformée en meilleur auxiliaire offensif de la sélection,
avec deux buts de kermesse, d’équipe de cour de récréation, j’ai commencé
à penser : mais comment est-ce possible que Saez
nous ait fait prendre peur face à une équipe qui est une horreur. Et
mieux encore. Que faisaient des joueurs de la meilleure Ligue du monde dans un
repêchage avec un tel rival ? De
toute manière, il faut en plus se plaquer un sourire sur la figure et le féliciter.
C’est inouï. Il ne
faisait pas froid, il ne neigeait pas, il ne pleuvait pas non plus et le terrain
n’était pas gelé. À la fin, une horreur avec Olsen faisant le clown devant
tous les « espontaneos » parce que la phase de jeu c’était
converti en quelque chose d’absurde. Avec ce résultat, Saez a des alibis de
tout type : que son choix était le meilleur, qu’il avait pensé à tout,
parce qu’il envoyait quatre joueurs frais –c’est l’unique théorie
soutenable- et que Raul devait tirer d’affaire la sélection. La
question est écrite dans le vent. Et
s’il avait bien fait les choses ? Je ne comprends pas comment Valeron
vaut pour les terrains lourds et ne vaut pas pour les autres. C’et
un scandale de laisser Reyes assis sur le banc. De même que Baraja et que Xabi
Alonso. L’ARTISTE
CRÉATEUR À
Iñaki Sáez
Je
suis comme dans l’air pur
du matin je
ne comprends pas ce que je fais et
je ne crois pas non plus que
c’est moi qui le fasse. Mais
ma bien-aimée me dit presque
tous les jours tu
es un génie, chéri, tu
ressemble à Dieu. Tu
fais de tout même
m’embrasser un moment sans
te rendre compte bien-aimé que
c’est toi qui est le champion. Le
champion des baisers des
baises légères et
des lentes baises jusqu’à
l’aube. Le
champion du travail et
de la fête bien aimée et
tout le monde sait que
tu es le vainqueur. Le
champion de l’étude des
claires inventions et
du poème facile pour
la population. Mais,
mon cher amour, tu
devrais savoir que
l’homme qui a tout fait a
transformé son être. C’est
pour cela que tu ne te trouves ni
dans la vie, ni au travail ni
même dans le lit quand
nous faisons ces petites choses-là. Je
suis comme dans l’air
ESTO ES PUBLICIDAD CIERRE DE LA MUESTRA 12 DE DICIEMBRE
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