Revue hebdomadaire sur Internet Fusionne, dirige, écrit et correspond : Menassa 2002 NOUS
NE SAVONS PAS PARLER NOUS LE FAISONS EN PLUSIEURS LANGUES: INDIO
GRIS, EST LE PRODUIT D´UNE FUSION INDIO GRIS Nº 129 AÑO III ÉDITORIAL Des
histoires, ce que l’on appelle des histoires, j’en ai mille, toutes
inracontables. Ce qui me manque, vraiment, c’est un peu de courage. Je
suis un taré heureux. Je ne bouge pas, c’est le monde qui bouge et moi
je ris, heureux de tant de mouvement. Se
contenter de la joie de ce qui a déjà été obtenu c’est faire un
grand pas. Maintenant que j’ai quelque chose à soigner, je peux
attaquer avec force tout désir de pauvreté. Il
y a une liberté qui naît avec ton chant. Mais moi je ne t’attendais
pas, mon amour, et pourtant, ça a été très dur d’y penser. Œil
de neige, alpaga du temps, être de lumière, je ne sais pas si
j’attendrai toute l’horreur
uniquement pour l’avoir. Chérie,
obscurément je me retire vers la lumière, je laisse l’amour. ESPÉRANT
REVENIR JAMAIS JE NE SUIS ARRIVÉ Espérant revenir
jamais je ne suis arrivé, Si tu m’embrasses ici, je pense à
autrefois, Je suis là, je n’ai pas, je ne consomme
rien. sur mes lèvres immenses hors du temps,
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programmes :
CHÉRIE : Dans
le spectre rose et splendide Fuyons
de la faim, venin cruel ; c’est simplement pour une folie que j’écris.
Le bruit de la machine m’enorgueillit comme si c’était une chanson
connue qu’un chanteur fameux chante pour moi. Un
bruit de fer blanc contre fer blanc, avec des variations de sépulcres
ouverts aux cris nuptiaux des limaces quand elles vivent ensemble parmi
les hauts cordeaux ailés. Je vocifère lentement mon destin comme si mon
destin était le destin des pauvres bêtes immaculées, qui n’ont pu
encore parler avec aucun dieu qui leur explique le mystère de la vie.
Comme ces pauvres bêtes amantes de la mort. Oh,
corps à la chaleur extrême, parfaits papillons désespérés, rossignols
ténus, fous et aveugles, comme vous, chanteurs des jours les plus
spectaculaires de notre processus d’échouer, de notre grande erreur. Je
suis celui qui s’enfonce silencieusement en moi, pour que tu puisses
voler.
Il
s’est allongé sans dire un mot.
Après quinze minutes de silence, il m’a dit d’une voix tranquille,
posée: - Je dois tout pouvoir faire d’une autre
manière. Ce que je ne comprends absolument pas c’est pourquoi j’ai
une femme et une servante. Pourquoi ? Je dois pouvoir me situer dans
une réalité plus objective. Alors je lui ai dit, tranquillement aussi: - À partir de la semaine prochaine nous
pouvons commencer la troisième séance. Nous continuons la prochaine fois.
Je
l’ai attrapé par les cheveux et l’ai retournée. Je l’ai appuyée délicatement
contre le bureau, ses seins sur le journal de bord et je l’ai enculée
dans le style classique. Toute
jouissance. Premièrement,
je lui ai léché le cul près de quinze minutes. Ensuite, tandis
qu’elle aussi
me suçait dans une position bizarre, je lui ai introduit deux
doigts (l’index et le majeur) qui mêlés à la salive ont pénétré
avec une facilité étonnante. Elle
s’est exclamé: -Brise-moi
toute entière, encule-moi, je t’en prie.
1 De
forts appels au cœur qui montrent à quel point est malheureux celui qui
ne moissonne que ce qu’il a été capable de semer. 2 J’avais mes raisons quand je disais que celui qui lisait plus ne pensait pas mieux. De plus, parmi ceux qui savent lire, personne ne sait organiser les produits de tant de lectures. Moi, si j’y songe bien, j’ai dû donner à manger aux bêtes, pour que les bêtes soient, maintenant, soutien de quelques-uns de mes noms.
Sans
aucune exigence on pourrait vivre de même… Indio Gris ÇA C ‘EST DE LA PUBLICITÉ
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